Chaque édition des Vignes Réboussières sera l’occasion de surprendre les participants avec une thématique artistique forte, engagée et surprenante.
Cette année, nous sommes très heureux d’accueillir Adec artisan d'Art, qui
exposera ses œuvres à plusieurs endroits de la balade... Ouvrez l’œil !
Adec
Partez à la découverte du travail remarquable de Adec tout au long de la balade ! Adec découvre la peinture par le graffiti vers 2000. Il étudie en écoles d'arts plastiques et de graphisme à Paris de 2002 à 2005. En 2005, il intègre l’Institut van der Kelen à Bruxelles (imitations bois, marbres, décors de théâtre…). Installé à Bruxelles de 2005 à 2012, Adec ouvre son atelier dans une Église désaffectée, l'Église du Gesù, qui accueille encore aujourd'hui plus d'une centaine de personnes en grande précarité. Depuis septembre 2012, il vit dans le Gard et se lance aussi dans la sculpture d'objets de récupération (carton, bouchon, bois et métaux). Pris d'envies créatrices, il trouve son inspiration dans les scènes de la vie quotidienne, les coutumes ou les conditions de vie dans différentes cultures du monde, les voyages, les femmes, la musique… Son travail relève de techniques diverses, en favorisant l'utilisation de matériaux de récupération ou d’objets trouvés. |
L'Insecte réalisera une oeuvre en direct !
Un insecte, c’est un être souvent mal aimé et pourtant indispensable à l’écosystème…
Issu du graffiti, ne serait-ce pas pour cette raison que l’artiste décide d’en faire son blaze ? Un blaze qui sonne comme un
parallèle entre ses deux raisons de vivre : la nature et le Street art, ce mouvement tant dénigré depuis son origine et déjà tellement
encré dans l’histoire de l’art !
L’Insecte est à l’origine un graffeur pur et dur, adepte des typographies et plus particulièrement des lettres old school des années
90. Il graffe dans les rues, les terrains vagues, les friches, les maisons abandonnées… et apposé discrètement à ses messages
revendicateurs, on peut déchiffrer le tag « 1sekte », celui qu’il réserve pour la rue.
mais L’Insecte, c’est aussi une référence à la nature, sa nature qui lui est chère et au milieu de laquelle il aime vivre. N’allez
pas penser pas que le graffiti est réservé aux grandes métropoles, il a su avec les décennies traverser les champs et les campagnes
pour inspirer, sublimer, (vandaliser ?) les moindres petites gares de provinces. Le bois est devenu avec le temps son matériau
de prédilection. toujours recyclé, il le chine, le traite, le ponce et le peint.
L’Insecte, c’est donc le mélange de la nature et de la culture graffiti hip-hop. C’est graffer un hibou sur du chêne, dessiner un
ours au posca, dénoncer avec la douceur du trait et la brutalité des mots. Car oui, L’Insecte dénonce et derrière ses jolis animaux,
ses couleurs chaudes et ses compositions habilement rythmées par les lattes, le message est clair et parle à tous !
Issu du graffiti, ne serait-ce pas pour cette raison que l’artiste décide d’en faire son blaze ? Un blaze qui sonne comme un
parallèle entre ses deux raisons de vivre : la nature et le Street art, ce mouvement tant dénigré depuis son origine et déjà tellement
encré dans l’histoire de l’art !
L’Insecte est à l’origine un graffeur pur et dur, adepte des typographies et plus particulièrement des lettres old school des années
90. Il graffe dans les rues, les terrains vagues, les friches, les maisons abandonnées… et apposé discrètement à ses messages
revendicateurs, on peut déchiffrer le tag « 1sekte », celui qu’il réserve pour la rue.
mais L’Insecte, c’est aussi une référence à la nature, sa nature qui lui est chère et au milieu de laquelle il aime vivre. N’allez
pas penser pas que le graffiti est réservé aux grandes métropoles, il a su avec les décennies traverser les champs et les campagnes
pour inspirer, sublimer, (vandaliser ?) les moindres petites gares de provinces. Le bois est devenu avec le temps son matériau
de prédilection. toujours recyclé, il le chine, le traite, le ponce et le peint.
L’Insecte, c’est donc le mélange de la nature et de la culture graffiti hip-hop. C’est graffer un hibou sur du chêne, dessiner un
ours au posca, dénoncer avec la douceur du trait et la brutalité des mots. Car oui, L’Insecte dénonce et derrière ses jolis animaux,
ses couleurs chaudes et ses compositions habilement rythmées par les lattes, le message est clair et parle à tous !