Elle possède une forte identité basée sur un héritage d’attachement à la liberté et aux résistances.
Ce sont les fondements d’une modernité permettant d’attirer les amateurs de vins, de nature et les touristes curieux de découvrir cette forte histoire viticole locale.
Durant de nombreux siècles, la vigne a côtoyé d’autres productions agricoles (oliviers, céréales, vergers, châtaigniers), le vin faisant l’objet d’une consommation locale.
En luttant contre les difficultés liées au climat (hivers 1709 ou 1948), les persécutions religieuses, les occupations militaires et les crises économiques, la culture de la vigne a toujours fait partie de ce territoire et a connu un fort développement au XIXème siècle, sans toutefois s’orienter vers une monoculture comme ce fut le cas dans la basse plaine du Languedoc.
Cette fibre de rébellion, de « libre conscience », cette impossibilité de se plier à une pensée unique, à une culture uniformisée de la vigne. Témoignage aussi de cet esprit de résistance – et il en est presque symbolique – l’ancrage fort des cépages « interdits » (et « résistants aux maladies ») dans les exploitations familiales. Il n’est pas non plus anecdotique qu’un événement festif ait choisi le nom de « Vignes Réboussières », le réboussier étant un caractère intrinsèquement rebelle et opposant. Enfin, il faut reconnaitre que les vins identifiés comme « Cévennes » le sont en IGP, signe de qualité offrant plus de liberté aux vignerons qu’en AOP.
Aujourd’hui, la vigne a une place particulière dans l’économie agricole de ce territoire et contribue, aux côtés d’autres productions agricoles, à la renommée des produits des Cévennes. Associées au développement de l’économie touristique, elles assurent un nouvel équilibre et contribuent au maintien des paysages façonnés par l’homme au cours des siècles.
En raison de cette authenticité de patrimoine et de caractère, la viticulture de la destination "Vignoble des Cévennes" offre aujourd’hui aux oenotouristes un portrait moderne de ce que sera la vigne demain, toute en donnant à voir une autre facette des Cévennes : une tradition de résistances, un vignoble précurseur.
L'offre touristique, complète et de qualité, met en réseau les acteurs concernés par l’oenotourisme. Elle permet aux touristes d’organiser leurs séjours à travers la valorisation de leurs produits.
Cette vocation touristique et viticole a permis à la destination « Vignoble des Cévennes » d’obtenir le label national « vignobles & découvertes » pour une durée de trois ans (2017-2020).
Engagés dans cette démarche, les caves, domaines, hébergeurs, restaurants, sites touristiques, offices de tourisme, structures réceptives et événements présents dans la rubrique "oenotourisme" constituent le cœur de l’offre touristique de la destination « Vignoble des Cévennes ».
Ce sont les fondements d’une modernité permettant d’attirer les amateurs de vins, de nature et les touristes curieux de découvrir cette forte histoire viticole locale.
Durant de nombreux siècles, la vigne a côtoyé d’autres productions agricoles (oliviers, céréales, vergers, châtaigniers), le vin faisant l’objet d’une consommation locale.
En luttant contre les difficultés liées au climat (hivers 1709 ou 1948), les persécutions religieuses, les occupations militaires et les crises économiques, la culture de la vigne a toujours fait partie de ce territoire et a connu un fort développement au XIXème siècle, sans toutefois s’orienter vers une monoculture comme ce fut le cas dans la basse plaine du Languedoc.
Cette fibre de rébellion, de « libre conscience », cette impossibilité de se plier à une pensée unique, à une culture uniformisée de la vigne. Témoignage aussi de cet esprit de résistance – et il en est presque symbolique – l’ancrage fort des cépages « interdits » (et « résistants aux maladies ») dans les exploitations familiales. Il n’est pas non plus anecdotique qu’un événement festif ait choisi le nom de « Vignes Réboussières », le réboussier étant un caractère intrinsèquement rebelle et opposant. Enfin, il faut reconnaitre que les vins identifiés comme « Cévennes » le sont en IGP, signe de qualité offrant plus de liberté aux vignerons qu’en AOP.
Aujourd’hui, la vigne a une place particulière dans l’économie agricole de ce territoire et contribue, aux côtés d’autres productions agricoles, à la renommée des produits des Cévennes. Associées au développement de l’économie touristique, elles assurent un nouvel équilibre et contribuent au maintien des paysages façonnés par l’homme au cours des siècles.
En raison de cette authenticité de patrimoine et de caractère, la viticulture de la destination "Vignoble des Cévennes" offre aujourd’hui aux oenotouristes un portrait moderne de ce que sera la vigne demain, toute en donnant à voir une autre facette des Cévennes : une tradition de résistances, un vignoble précurseur.
L'offre touristique, complète et de qualité, met en réseau les acteurs concernés par l’oenotourisme. Elle permet aux touristes d’organiser leurs séjours à travers la valorisation de leurs produits.
Cette vocation touristique et viticole a permis à la destination « Vignoble des Cévennes » d’obtenir le label national « vignobles & découvertes » pour une durée de trois ans (2017-2020).
Engagés dans cette démarche, les caves, domaines, hébergeurs, restaurants, sites touristiques, offices de tourisme, structures réceptives et événements présents dans la rubrique "oenotourisme" constituent le cœur de l’offre touristique de la destination « Vignoble des Cévennes ».